15 ans de recherche engagée sur les pathologies dites
incurables. Des résultats probants attestés par des instituts de référence. Le
biomédecin-chercheur, Jean Yves Diamana, Dg du groupe Diamana, vient de
découvrir une «solution à la Covid-19». Il sollicite l’Etat pour valider son
produit pour éviter à la Côte d’Ivoire «l’hécatombe constatée dans d’autres
pays».
La Voie Originale : Selon un chercheur africain, la
recherche ne doit pas être un luxe pour le Tiers-monde. L’Afrique noire, en
particulier, doit avoir une recherche fondamentale autonome. Devons-nous
comprendre que c’est dans cette
dynamique que s’inscrivent vos travaux de recherche ?
Jean-Yves Diamana : Cette pensée, je l’épouse entièrement.
La recherche ne devrait pas être un luxe, en ce sens que les résultats des
travaux de recherche doivent impacter positivement la société, principalement
dans le domaine de la Santé dans lequel nous évoluons. Si on doit vivre avec le
diabète ou l’hypertension pendant des années, vous comprenez que ça menace
l’économie ; parce que l’élément prépondérant pour faire fonctionner
l’économie, c’est l’homme. Toutefois,
Il faut relever que la seule volonté de faire de la
recherche ne suffit pas. Il faut des mesures d’accompagnement, surtout des
mesures financières, pour faire l’étude des ratios, l’étude des principes
actifs, des recherches sur les toxicités des produits en vue de les mettre à la
disposition des populations.
L.V.O : Les décisions pour lutter contre la pandémie de coronavirus ont été diversement appréciées au sein des populations. Quel est le regard du chercheur sur ces mesures barrières ?
J.Y.D : L’approche scientifique, humaine, c’est de vouloir
trouver des solutions. Les Etats ont pris des mesures barrières dans le but de
protéger la vie des populations. Le rôle des chercheurs, c‘est comment
éradiquer cette pandémie. Face à ce fléau, nous avons engagé des recherches
au-delà des mesures barrières pour apporter une solution autant curative que préventive pour que ces les mesures
prises par les pouvoirs publics soient plus efficientes.
L.V.O : Et c’est là que vous créez la molécule BJ12.
JYD : La maladie étant encore en Chine quand nous avons eu
écho des effets dévastateurs sur l’homme, cet être conçu à l’image de Dieu. Et
nous avons suivi toutes ces prédictions d’hécatombe sur notre Afrique. C’est
alors qu’en notre qualité de chercheur auréolé des témoignages de solutions sur
l’incurable, nous nous sommes engagé à faire des recherches tenant compte des
signes symptomatiques. Au fur et à mesure que nous avancions, nous avions
compris qu’on pouvait obtenir une solution à ce fléau. Nous avons poursuivi nos
travaux de recherche en les confiant d’abord à l’Eternel, le PDG du groupe.
C’est lui qui nous a inspiré, et nous avons conçu la molécule BJ12 qui est une
solution naturelle. C’est un sirop sous sa forme pharmaceutique, qui est à la
fois préventive et curative. C’est la solution
qui permet de vivre sans mourir de la Covid-19.
LVO : Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur cette
molécule en vous disant qu’elle pourrait être efficace dans le traitement de la
Covid-19 ?
J.Y.D : Nous sommes dans un Etat organisé. Nous avons pris
soin d’adresser deux courriers au ministère de la Santé et de l’Hygiène
publique ; le premier le 18 mars 2020, le second le 23 mars 2020. Dans ces ceux
courriers, nous avons demandé au ministère
qu’il soit validé le BJ12. Bien
avant, nous avions pris soin de remettre la molécule au ministère de la Santé
et de l’Hygiène publique, début mars 2020, pour analyse. Il est admis que tout
résultat de recherche attendu sans impact sur un sujet atteint est une utopie.
C’est à-dire qu’un scientifique doit affirmer sa thèse et avoir des preuves
irréfutables de l’affirmation de sa thèse. Nous avons eu l’opportunité de
recevoir à notre cabinet des patients
qui étaient confinés à l’Injs. Nous avons pu exercer la thérapie sur dix sujets
malades. Ces dix sujets ont été guéris en moins de cinq jours. Leur guérison a
été certifiée par l’Institut Pasteur, seulement après quatre jours de
traitement. C’est fort de ces résultats attestés par un institut de référence
que nous avons adressé les deux courriers que j’évoquais plus haut au ministère
de la Santé et de l’Hygiène publique. Nous avons demandé que le produit soit
récupéré par l’Etat de Côte d’Ivoire et administré gratuitement à la
population, selon des dispositions de compensation qu’on pourrait faire en tant
que personne morale. Malheureusement, nous n’avons pas encore eu de suite à notre
requête. Nous sommes toujours dans l’attente d’une réponse. Nous savons le
ministre beaucoup chargé pour faire face à une situation imprévue. Le moment
viendra où il prêtera une oreille attentive à nos sollicitations. Pour la
postérité, nous avons pris sur nous de nous adresser directement à la
population à travers la presse pour annoncer qu’il y a une solution autant
curative que préventive. Notre souhait
est que le ministère agisse rapidement pour éviter que la Covid-19 ne crée pas
l’hécatombe que d’autres pays connaissent.
L.V.O : Le BJ12 prend-t-il en compte les variants qui font
de plus en plus de ravages au sein des populations ?
J.Y.D : Je vais vous rassurer. Nous sommes partis du fait
que la Covid-19 partait d’un virus. Nous avons pris des éléments-clés qui sont à même d’éradiquer
le virus. En ce qui concerne les variants, quand nous avons reçu l’information
qu’il y a un changement de niveau, nous avons simplement doublé les principes
actifs continus dans la molécule. Il n’y a rien d’extraordinaire. Nous avons
des exemples de cas guéris au Maroc et ici par nos soins. J’ai foi que ce mal
peut être totalement maîtrisé. Nous attendons la volonté politique pour
entériner BJ12.
LVO : Etes-vous conscients de susciter un immense espoir de
guérison pour les patients, aujourd’hui où la maladie est beaucoup plus
présente dans les familles ?
J.Y.D : La science n’est pas spéculative. C’est la somme des
résultats concrets, vérifiables. Prenons le cas de Goudé du groupe Magic
système. L’artiste faisait de l’hypertension depuis une dizaine d’années. Il a
même fait une chute lors d’un concert du groupe à Nantes (en France, ndlr). Sa
pression artérielle était monté jusqu’à 24. D’autres consultations ont montré
qu’il trainait aussi une insuffisance
rénale chronique. Asalfo était paniqué. J’ai demandé au néphrologue de la
clinique où il a été admis à Paris de le faire venir à Abidjan pour que je
m’occupe de lui. Il m’a rétorqué que la France avait un plateau technique plus
performant que celui de la Côte d’Ivoire. Mais, Dieu aidant, pour ne pas qu’il
meure, après plusieurs rejets, il a décidé d’accéder à ma demande. Au cabinet, même si nous sommes
à Yopougon terminus 42, nous avons traité Goudé. En 90 jours, sa tension s’est
stabilisée à 12. La créa qui était à plus de 100 s’est stabilisée à 12, alors
que la valeur absolue en médecine est de 14 en néphrologie.
Feu votre confrère Kangah Rovia était diabétique. Son taux
de glycémie s’élevait à 4,71. A ce
stade, il pouvait faire un coma diabétique. Nous l’avons reçu au cabinet dans
un état comateux. Après 90 jours de traitement, le taux de glycémie est
descendu à 0,85.
Nous avons reçu ici une dame qui avait onze ans de vie
commune, sans enfant. Elle s’est prêtée à de multiples opérations chirurgicales. La médecine dite
classique avait conclu qu’elle était stérile à vie, qu’elle ne pourrait plus
jamais féconder. Nous l’avons traitée en
moins de trois mois. Résultat, elle a mis au monde deux bébés en
l’espace d’un an.
En dehors de ces cas, nous traitons aussi l’hépatite virale,
le sida et bien d’autres pathologies que la médecine dite classique déclare
incurables.
Est-ce qu’il y a de l’espoir pour les familles ? Je crois
que oui.
Seulement que nous sommes sur un terrain très glissant. Nous
prions pour que la volonté politique accompagne ces résultats dans l’intérêt
supérieur des populations. Dans ce monde du donner-recevoir, nous pensons
humblement que l’Afrique pourrait aussi donner aux autres
L.V.O : Quand il s’agit du Tiers-monde, le monde médical
occidental appelle à la prudence quand ce n’est pas de la dérision. Votre
réaction ?
J.Y.D : J’appartiens
à une race qui va changer les données. Je suis prédicateur de
l’Evangile. La Bible dit dans Rm 8,19 que «la création entière soupire à la
révélation des fils de Dieu». Je suis un enfant de Dieu. Je porte les
caractères du Christ. Quand on a tous ces témoignages, c’est qu’on repose sur
le Seigneur. Je suis de ceux qui vont balayer cette thèse qui infantilise
l’Afrique. Je suis dans une Afrique qui gagne avec ses propres fils. Je suis
dans le wagon de cette Afrique nouvelle qui va framboiser les choses. Je suis
afro-optimiste. Quand la force viendra
de la base pour dire à nos politiques de changer les donnes, le regard que l’Occident
pose sur nous va changer.
L.V.O : Vous avez découvert une molécule qui soigne une
pandémie qui fait des ravages dans le monde ; vous guérissez des maladies
jugées incurables. Qu’attendez-vous des autorités ivoiriennes ?
J.Y.D : Que les fils du Royaume prient pour moi parce que
c’est un combat difficile. Dieu n’a pas créé une race supérieure à une autre.
Le Dieu que nous prions est un Dieu de justice et d’équité. Je souhaite que les autorités ivoiriennes
croient en ses chercheurs ; que les pouvoirs publics croient en ces Ivoiriens
que nous sommes. J’attends des autorités qu’elles accompagnent nos travaux de
recherche, qu’elles m’aident à les valider en les mettant à la disposition des
populations. On a encore en mémoire ce qui est arrivé à Nanan Drobo II.
Par la grâce de Dieu, je suis actuellement consultant sur
Radio Côte d’Ivoire. Lorsqu’on traverse une telle crise et qu’on vous accepte
comme consultant sur un média public, c’est une reconnaissance implicite de vos
compétences. Nous attendons des autorités que nous, chercheurs ivoiriens, ne
sommes pas là seulement pour recevoir des autres. Mais, que nous pouvons
exporter ce que nous avons de mieux. Dieu a fait grâce que nous avons la
solution à la Covid-19 attestée par l’Institut Pasteur, prenons BJ12 et sauvons
la Côte d’Ivoire.
Interview réalisée par J-S LIA