Jean Yves Diamana : «Le BJ12, c’est la solution qui permet de vivre sans mourir de la Covid-19».

Jean Yves Diamana (biomédecin-chercheur) : «Nous avons la solution à la Covid-19»

  • Kifuima TOURE
  • 01-02-2021 à 11:39
15 ans de recherche engagée sur les pathologies dites incurables. Des résultats probants attestés par des instituts de référence. Le biomédecin-chercheur, Jean Yves Diamana, Dg du groupe Diamana, vient de découvrir une «solution à la Covid-19». Il sollici

15 ans de recherche engagée sur les pathologies dites incurables. Des résultats probants attestés par des instituts de référence. Le biomédecin-chercheur, Jean Yves Diamana, Dg du groupe Diamana, vient de découvrir une «solution à la Covid-19». Il sollicite l’Etat pour valider son produit pour éviter à la Côte d’Ivoire «l’hécatombe constatée dans d’autres pays».

 La Voie Originale : Selon un chercheur africain, la recherche ne doit pas être un luxe pour le Tiers-monde. L’Afrique noire, en particulier, doit avoir une recherche fondamentale autonome. Devons-nous comprendre que c’est dans  cette dynamique que s’inscrivent vos travaux de recherche ?

Jean-Yves Diamana : Cette pensée, je l’épouse entièrement. La recherche ne devrait pas être un luxe, en ce sens que les résultats des travaux de recherche doivent impacter positivement la société, principalement dans le domaine de la Santé dans lequel nous évoluons. Si on doit vivre avec le diabète ou l’hypertension pendant des années, vous comprenez que ça menace l’économie ; parce que l’élément prépondérant pour faire fonctionner l’économie, c’est l’homme. Toutefois, 

Il faut relever que la seule volonté de faire de la recherche ne suffit pas. Il faut des mesures d’accompagnement, surtout des mesures financières, pour faire l’étude des ratios, l’étude des principes actifs, des recherches sur les toxicités des produits en vue de les mettre à la disposition des populations.

 L.V.O : Les décisions pour lutter contre la pandémie de coronavirus ont été diversement appréciées au sein des populations. Quel est le regard du chercheur sur ces mesures barrières ?

J.Y.D : L’approche scientifique, humaine, c’est de vouloir trouver des solutions. Les Etats ont pris des mesures barrières dans le but de protéger la vie des populations. Le rôle des chercheurs, c‘est comment éradiquer cette pandémie. Face à ce fléau, nous avons engagé des recherches au-delà des mesures barrières pour apporter une solution autant curative  que préventive pour que ces les mesures prises par les pouvoirs publics soient plus efficientes.

 L.V.O : Et c’est là que vous créez la molécule BJ12.

JYD : La maladie étant encore en Chine quand nous avons eu écho des effets dévastateurs sur l’homme, cet être conçu à l’image de Dieu. Et nous avons suivi toutes ces prédictions d’hécatombe sur notre Afrique. C’est alors qu’en notre qualité de chercheur auréolé des témoignages de solutions sur l’incurable, nous nous sommes engagé à faire des recherches tenant compte des signes symptomatiques. Au fur et à mesure que nous avancions, nous avions compris qu’on pouvait obtenir une solution à ce fléau. Nous avons poursuivi nos travaux de recherche en les confiant d’abord à l’Eternel, le PDG du groupe. C’est lui qui nous a inspiré, et nous avons conçu la molécule BJ12 qui est une solution naturelle. C’est un sirop sous sa forme pharmaceutique, qui est à la fois préventive et curative. C’est la solution  qui permet de vivre sans mourir de la Covid-19.

LVO : Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur cette molécule en vous disant qu’elle pourrait être efficace dans le traitement de la Covid-19 ?

J.Y.D : Nous sommes dans un Etat organisé. Nous avons pris soin d’adresser deux courriers au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique ; le premier le 18 mars 2020, le second le 23 mars 2020. Dans ces ceux courriers, nous avons demandé au ministère  qu’il soit validé le BJ12.  Bien avant, nous avions pris soin de remettre la molécule au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, début mars 2020, pour analyse. Il est admis que tout résultat de recherche attendu sans impact sur un sujet atteint est une utopie. C’est à-dire qu’un scientifique doit affirmer sa thèse et avoir des preuves irréfutables de l’affirmation de sa thèse. Nous avons eu l’opportunité de recevoir  à notre cabinet des patients qui étaient confinés à l’Injs. Nous avons pu exercer la thérapie sur dix sujets malades. Ces dix sujets ont été guéris en moins de cinq jours. Leur guérison a été certifiée par l’Institut Pasteur, seulement après quatre jours de traitement. C’est fort de ces résultats attestés par un institut de référence que nous avons adressé les deux courriers que j’évoquais plus haut au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Nous avons demandé que le produit soit récupéré par l’Etat de Côte d’Ivoire et administré gratuitement à la population, selon des dispositions de compensation qu’on pourrait faire en tant que personne morale. Malheureusement, nous n’avons pas encore eu de suite à notre requête. Nous sommes toujours dans l’attente d’une réponse. Nous savons le ministre beaucoup chargé pour faire face à une situation imprévue. Le moment viendra où il prêtera une oreille attentive à nos sollicitations. Pour la postérité, nous avons pris sur nous de nous adresser directement à la population à travers la presse pour annoncer qu’il y a une solution autant curative  que préventive. Notre souhait est que le ministère agisse rapidement pour éviter que la Covid-19 ne crée pas l’hécatombe que d’autres pays connaissent.

L.V.O : Le BJ12 prend-t-il en compte les variants qui font de plus en plus de ravages au sein des populations ?

J.Y.D : Je vais vous rassurer. Nous sommes partis du fait que la Covid-19 partait d’un virus. Nous avons pris  des éléments-clés qui sont à même d’éradiquer le virus. En ce qui concerne les variants, quand nous avons reçu l’information qu’il y a un changement de niveau, nous avons simplement doublé les principes actifs continus dans la molécule. Il n’y a rien d’extraordinaire. Nous avons des exemples de cas guéris au Maroc et ici par nos soins. J’ai foi que ce mal peut être totalement maîtrisé. Nous attendons la volonté politique pour entériner  BJ12.

LVO : Etes-vous conscients de susciter un immense espoir de guérison pour les patients, aujourd’hui où la maladie est beaucoup plus présente dans les familles ?

J.Y.D : La science n’est pas spéculative. C’est la somme des résultats concrets, vérifiables. Prenons le cas de Goudé du groupe Magic système. L’artiste faisait de l’hypertension depuis une dizaine d’années. Il a même fait une chute lors d’un concert du groupe à Nantes (en France, ndlr). Sa pression artérielle était monté jusqu’à 24. D’autres consultations ont montré qu’il trainait  aussi une insuffisance rénale chronique. Asalfo était paniqué. J’ai demandé au néphrologue de la clinique où il a été admis à Paris de le faire venir à Abidjan pour que je m’occupe de lui. Il m’a rétorqué que la France avait un plateau technique plus performant que celui de la Côte d’Ivoire. Mais, Dieu aidant, pour ne pas qu’il meure, après plusieurs rejets, il a décidé d’accéder  à ma demande. Au cabinet, même si nous sommes à Yopougon terminus 42, nous avons traité Goudé. En 90 jours, sa tension s’est stabilisée à 12. La créa qui était à plus de 100 s’est stabilisée à 12, alors que la valeur absolue en médecine est de 14 en néphrologie.

Feu votre confrère Kangah Rovia était diabétique. Son taux de glycémie s’élevait  à 4,71. A ce stade, il pouvait faire un coma diabétique. Nous l’avons reçu au cabinet dans un état comateux. Après 90 jours de traitement, le taux de glycémie est descendu à 0,85.

Nous avons reçu ici une dame qui avait onze ans de vie commune, sans enfant. Elle s’est prêtée à de multiples  opérations chirurgicales. La médecine dite classique avait conclu qu’elle était stérile à vie, qu’elle ne pourrait plus jamais féconder. Nous l’avons traitée en  moins de trois mois. Résultat, elle a mis au monde deux bébés en l’espace d’un an.

En dehors de ces cas, nous traitons aussi l’hépatite virale, le sida et bien d’autres pathologies que la médecine dite classique déclare incurables.

Est-ce qu’il y a de l’espoir pour les familles ? Je crois que oui.

Seulement que nous sommes sur un terrain très glissant. Nous prions pour que la volonté politique accompagne ces résultats dans l’intérêt supérieur des populations. Dans ce monde du donner-recevoir, nous pensons humblement que l’Afrique pourrait aussi donner aux autres

 L.V.O : Quand il s’agit du Tiers-monde, le monde médical occidental appelle à la prudence quand ce n’est pas de la dérision. Votre réaction ?

J.Y.D : J’appartiens  à une race qui va changer les données. Je suis prédicateur de l’Evangile. La Bible dit dans Rm 8,19 que «la création entière soupire à la révélation des fils de Dieu». Je suis un enfant de Dieu. Je porte les caractères du Christ. Quand on a tous ces témoignages, c’est qu’on repose sur le Seigneur. Je suis de ceux qui vont balayer cette thèse qui infantilise l’Afrique. Je suis dans une Afrique qui gagne avec ses propres fils. Je suis dans le wagon de cette Afrique nouvelle qui va framboiser les choses. Je suis afro-optimiste. Quand  la force viendra de la base pour dire à nos politiques de changer les donnes, le regard que l’Occident pose sur nous va changer.

L.V.O : Vous avez découvert une molécule qui soigne une pandémie qui fait des ravages dans le monde ; vous guérissez des maladies jugées incurables. Qu’attendez-vous des autorités ivoiriennes ?

J.Y.D : Que les fils du Royaume prient pour moi parce que c’est un combat difficile. Dieu n’a pas créé une race supérieure à une autre. Le Dieu que nous prions est un Dieu de justice et d’équité.  Je souhaite que les autorités ivoiriennes croient en ses chercheurs ; que les pouvoirs publics croient en ces Ivoiriens que nous sommes. J’attends des autorités qu’elles accompagnent nos travaux de recherche, qu’elles m’aident à les valider en les mettant à la disposition des populations. On a encore en mémoire ce qui est arrivé à Nanan Drobo II.

Par la grâce de Dieu, je suis actuellement consultant sur Radio Côte d’Ivoire. Lorsqu’on traverse une telle crise et qu’on vous accepte comme consultant sur un média public, c’est une reconnaissance implicite de vos compétences. Nous attendons des autorités que nous, chercheurs ivoiriens, ne sommes pas là seulement pour recevoir des autres. Mais, que nous pouvons exporter ce que nous avons de mieux. Dieu a fait grâce que nous avons la solution à la Covid-19 attestée par l’Institut Pasteur, prenons BJ12 et sauvons la Côte d’Ivoire.

Interview réalisée par J-S LIA