Le Président Laurent Gbagbo, de retour de dix années d’exil, avait promis de doter la Côte d’Ivoire d’un «nouvel instrument» de lutte politique. C’est désormais chose faite, le Parti des Peuples Africains de Côte d’Ivoire a vu le jour le 16 octobre 2021. Ses organes dirigeants et centraux ont été mis en place.A l’occasion du premier Secrétariat Général de ce nouveau parti, le Président Laurent Gbagbo a adressé des recommandations aux responsables, aux militants, au pouvoir et spécifiquement aux jeunes, dont les implications sont évidentes dans le fond et dans la forme.Le Parti des Peuples Africains Côte d’Ivoire (PPA-CI). C’est cette formation politique que le Président Laurent Gbagbo avait promise, le 9 aout 2021, lors du Comité Central de son parti tenu au palais de la culture de Treichville, pour combler le vide que laisse son ancien parti qui, à force «d’instrumentalisation a dévoyé sa mission de libération de la Côte d’Ivoire».Créé le 16 octobre 2021, au palais des Congrès du Sofitel l’Hôtel Ivoire, le PPA-CI, au regard du contexte de sa création et à l’évidence de ses ambitions, incarne l’espérance d’un rassemblement et d’un consensus qui vont au-delà la Côte d’Ivoire. Le premier Secrétariat Général de ce parti s’est tenu, le 22 novembre 2021. Cette première réunion où les gens viennent d’être nommés, le Président du PPA-CI a souhaité la présider lui-même, «pour qu’on se voie ensemble et qu’on se mette au travail immédiatement».En tant qu’instance, le Secrétariat Général du 22 novembre 2021 a permis de rendre publics les organes dirigeants. Cette première réunion signifie que le Président Laurent Gbagbo achève la première étape de la promesse qu’il avait faite de doter le pays d’un autre parti politique.Pour ce qu’elle met en place tous les organes dirigeants et centraux, on peut estimer que la réunion du 22 novembre 2021 est historique et constitue une étape cruciale qui mène vers l’épilogue du processus de mise en place du parti que le Président Laurent Gbagbo avait promis.Jusqu’au premier Secrétariat Général, le «Woody de Mama» et ses partisans auront mis au plus quatre mois à concevoir et à bâtir un instrument de lutte qui allie grand rassemblement et large consensus. LA SUITE RESERVEE AUX ABONES !
